Michèle Anahory vous invite à partager une avant-première exclusive du film « Le petit blond de la casbah » d’Alexandre Arcady en présence de celui-ci.
Jeudi 1er juin à 18h00
241 boulevard Pereire Paris XVIIe
Pas de frais de participation, ni d’appel de fonds, nous aurons juste le plaisir de nous retrouver.
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Synopsis
Le petit blond de la casbah d’Alexandre Arcady suit un cinéaste à succès qui revient avec son fils à Alger, sa ville natale, pour présenter son nouveau film : l’histoire de son enfance et de sa famille dans l’Algérie d’hier. Le réalisateur est interprété par Patrick Mille. Cette comédie dramatique se déroule à Alger en pleine guerre d’Algérie quand le cinéaste, alors âgé de 12 ans – Léo Campion – découvre sa passion pour le 7e art.
Marie Gillain et Françoise Fabian interprètent la mère du cineaste. Elles sont entourées par Christian Berkel, Pascal Elbé, Judith El Zein, Michel Boujenah, Dany Brillant, Franck Dubosc, Olivier Sitruk, Smaïn, Jean Benguigui, Rona Hartner, Valérie Kaprisky, Moussa Maaskri…
Note d’intention du réalisateur
Depuis le départ du paquebot qui nous emmenait loin d’Alger, ma ville natale –moment que j’ai raconté dans mon premier film « Le coup de Sirocco » je n’ai cessé de m’interroger sur la terre de mes origines.
En 2004, j’ai écrit un livre autobiographique, « Le Petit Blond de la Casbah », mais l’idée d’en faire un film m’avait sans doute fait peur à l’époque. Et puis je me suis rendu compte que si j’ai toujours raconté dans mes films des histoires proches de ma sensibilité et de mes racines, je n’ai jamais parlé de ma propre histoire.
Se tourner vers son enfance pour expliquer l’homme que l’on est, est un exercice périlleux, vertigineux et sûrement très salutaire.
J’ai donc imaginé un alter ego : Antoine, 13 ans en 1960, un petit garçon de la Casbah, qui grandit entre l’école, les copains, sa famille et ses voisins, et qui découvre avec fascination le cinéma en traversant les derniers moments de l’Algérie en guerre avant l’indépendance.
En réalisant ce film, j’ai souhaité boucler la boucle et apporter une vision apaisée de cette époque révolue.